Booster
Un bond dans nos recherches : le BOOSTER
Issue de nos recherches sur les ondes de forme, domaine qualifié de pseudo-science par les érudits éclairés de la science sérieuse. Pour plus d’information, je vous renvoie à mon dernier livre » l’information moteur de l’univers », paru en janvier 2024. En associant l’électroculture et notre booster, nos premiers tests en jardinières ont montré une croissance de plus de 200%, entre une plante témoin et une plante électrocultivée avec booster. D’autres essais sont en cours sur de plus grandes surfaces et montrent une croissance des plantes en taille, volume et récolte plus importante. Cette découverte issue de déductions et de sérendipité permet d’utiliser, avec succès, ce booster sur des surfaces de plusieurs centaines de m².
Comment ça marche ?
Nous avons modifié les électrodes, délimitant la parcelle stimulée. Nous déroulons ces tubes de cuivre (des tubes de cuivre écroui de plomberie 12/14, vendus en rouleau dans les magasins de bricolage) dans les deux tranchées profondes de 20cm, puis nous les recourbons aux extrémités vers le haut. Ces tubes remplacent ainsi les anciennes tôles d’acier connectées par des fils électriques. Les extrémités dépassent du sol. Cela permet de les repérer facilement et d’assurer la connexion avec le PLANTONIC par un fil électrique. (Voir la notice de pose des PLANTONIC).
Une solution concentrée du Booster, livrée avec le PLANTONIC, remplit les tubes. Un appoint d’eau de pluie complète le liquide jusqu’à quelques centimètres de l’extrémité haute du tube. Chaque tube bouchent les deux extrémités. Aucun contact direct n’existe entre le liquide et la terre entourant le tube. Lors de la mise en place, nous tasserons la terre pour assurer un bon contact avec le cuivre et l’arroserons copieusement.
Que se passe-t-il ?
Le PLANTONIC fait son office et envoi les impulsions électriques dans le sol entre les deux électrodes. La stimulation électrique transporte les informations du cuivre et des molécules du booster dans toute la parcelle. Le booster, mis en place dans le tube, ne représente qu’une centaine de millilitre. Le liquide reste dans le tube définitivement. Si besoin, seul un rajout d’eau de pluie peut se faire une fois par an. Le fonctionnement du Booster n’a pas de limite dans le temps. Je n’irai pas plus loin dans les explications techniques afin de ne pas embrouiller le lecteur non averti de ces concepts qui rendent perplexes les scientifiques formatées. L’observation montre sans équivoque, que la croissance est largement plus importante comme le montrent les photos ci dessous.
Observations et expériences
Les observations dans des jardinières sous serre et terre de potager :
Nous avons positionné trois jardinières dans la serre d’expérimentation, toutes sous les mêmes conditions. De gauche à droite, vous trouvez la jardinière électro cultivé et boosté, électro cultivé puis la jardinière témoin. La plantation a été faite début avril. Après 15 jours, les graines de potiron se sont développées et montrent des différences importantes dans la croissance des feuilles. Nous avons mesuré la largeur des feuilles mi-mai.
Potiron électrocultivé et boosté La mesure du diamètre de la plus grande feuille indique 27cm
Potiron témoin La mesure du diamètre de la plus grande feuille indique 17cm
Nous avons effectué les mesures le même jour, à la même heure. Le rapport entre les deux diamètres est 27cm/17cm=1.59. La feuille du potiron boosté est presque 160% plus grande en largeur que la feuille du potiron témoin.
Les observations dans le potager expérimental de 400m² électro cultivé et boosté :
Nous avons récolté les courgettes, plantées en mai à partir de plants du commerce de longueur et diamètre standard, fin juin et début juillet. Leurs dimensions L 30cm à 36cm diamètre 10 à 11cm pour un poids de 1.3kg à 1.8kg. Ces courgettes proviennent de plants de courgette vendus en jardinerie. Ce ne sont pas des plants de courge de diamètre encore plus volumineux
Les fèves, plantés en octobre 2022 ont bénéficiées du booster à partir de fin avril au début de la floraison. Leur hauteur est en moyenne de 1.2m. la récolte à mi- juin pour une soixantaine de pieds est de 10.107kg ce qui est un record. Les gousses ont une longueur de 15 à 20cm avec 4 à 5 graines bien formées
Essai dans les terres agricoles de grande culture
Le but de cet essai, est de voir si l’électroculture boostée apporte une augmentation de croissance des plantes dans une terre totalement abimée où l’utilisation d’azote et d’autres produits phyto sont absolument nécessaires pour avoir une production importante et lutter contre les maladies.
La terre a été prise dans un champ où la végétation est clairsemée. Au deuxième plan, on aperçoit le blé aux tiges bien serrées et sur la droite les herbes qui ont bénéficié de l’azote pulvérisé dans les semaines précédentes.
Deux jardinières sont remplies de cette terre argilo-calcaire. Sur l’image ci-dessus, La jardinière du haut est électrocultivée, celle du bas est electroboostée Nous relions les quatre électrodes (petit tubes en cuivre dans les coins) en série puis connectées au PLANTONIC MINI pour les stimuler de la même manière.
Évolution de la croissance des plants de potiron en terre abimée sur plusieurs semaines
Les différentes photos montrent l’évolution de la croissance en électroculture et avec le booster dans une terre « morte ». La mise en place d’une troisième jardinière « témoin » n’aurait probablement pas fait germer une graine. La dernière photo a été faite le 1/7/23. On peut en conclure hâtivement que le booster active fortement la fertilisation et donc la croissance des plantes même dans des terres abimées. Des essais plus poussés sur de grandes surfaces doivent être entrepris et la formulation du booster doit être optimisé.
La photo ci-dessus montre la tige du potiron electroboosté , elle est verticale et vigoureuse.
La photo ci-dessus montre la tige du potiron électrocultivé, elle traîne sur le sol et sa section est plus fine.
Mesure des biophotons dans les tomates
Nous avons, cet été, demandé au laboratoire ENERLAB à Nice de procéder à l’évaluation des biophotons dans nos tomates électroboostées et dans des tomates « témoin » cultivées de façon conventionnelle, Celles-ci se trouvant à proximité (>5m coté EST) mais hors du champ de la zone électrocultivée.L’étude a été étendue aux tomates vendues dans les magasins pour voir où se situent les tomates électroboostées dans l’offre commerciale.
Deux méthodes ont été utilisées :
- Mesure avec une caméra CCD haute définition et haute sensibilité
- Mesure avec un luminomètre de haute sensibilité.
4 échantillons de tomates électroboostées notées 1 à 4 et 2 échantillons de tomates « témoin » conventionnelles ont été testées notées 5 et 6. Puis 10 échantillons de tomates achetées dans les magasins de Nice.
- Elles sont d’origines diverses : France, Espagne, Maroc
- Elles proviennent de culture Bio et conventionnelle,
- Elles sont achetées en magasin hyper, super et épicerie.
Les résultats, sous forme de graphe ci-dessous, sont sans appel.
Mesure avec une caméra CCD
Mesure avec un luminomètre
La différence entre les tomates électroboostées et les tomates conventionnelles est fortement discriminée et montre, pour les deux méthodes de mesure, que le nombre de biophotons est largement plus important dans les échantillons électroboostées que dans les échantillons « témoins ». Le nombre des biophotons est représentatif de la vitalité du fruit et donc de la qualité du produit pour notre métabolisme. Le groupe de tête , le plus à droite est composé des 4 tomates électroboostées et de l’échantillon provenant du maraîcher local Bio.
Le groupe du milieu comporte nos tomates « témoin » ainsi que les tomates bio de Carrefour, de Biocoop et du maraîcher conventionnel. Le groupe de gauche comprend les tomates d’importation, de culture conventionnelle sans que nous ayons de détails sur ces modes de culture. Ces tomates ont subies des traitements industrielles et probablement une irradiation pour détruire les germes pathogènes du lieu de production, bloquer leur décomposition naturelle et garder leur fraicheur apparente plus longtemps. Cependant leur vitalité s’est écroulée. Nous avons profité de ces tests pour analyser deux échantillons de terre provenant de la partie électroboostée et la partie conventionnelle. leur position sur le graphe est représenté par les 2 carrés jaune et vert. Leur position est cohérente avec les mesures faites sur les tomates.
En conclusion , l’électroculture avec le BOOSTER apporte dans la terre et aux plantes une stimulation électromagnétique et une stimulation informationnelle permettant d’obtenir des produits de haute qualité sans apport de produits de traitement. Ceci conforte l’observation des plantes en meilleure santé et donc aptent à se défendre contre les prédateurs en ayant une meilleure valeur gustative, une plus grande vitalité et un plus haut rendement. Cela était déjà constaté depuis le début de nos essais, il y six ans par nos observations et des tests qualitatifs, sans avoir de mesures précises.
Photos des tomates électroboostées (variété Marmande) qui ont servi aux tests. Nous avons acheté les graines en sachet en supermarché et les avons semées en février sous étuve à 20°C. Ensuite, fin mai, nous avons placé les tomates dans une zone électrocultivée et électroboostée de 300m². Enfin, nous récoltons 4 tomates à différents stades de maturation sur 4 pieds différents pour les tests le 8 septembre par l’intermédiaire du Laboratoire ENERLAB (site www.enerlab.net).
Observation de la tenue en température de semis de tomates
Observation de semis de tomates entre septembre et décembre 2023. Les températures baissant graduellement jusqu’à 0° dans la serre.
Semis réalisés aux 29 septembre 2023 Tomates cœur de bœuf
Tomates électro boostées
Tomates électro cultivées
Tomates témoin standards
Ne pas tenir compte de la plante
Au 8 octobre, les semis se développent significativement dans les jardinières électroboostée et électro cultivée et sont nuls dans la jardinière témoin.
Tomates électro boostées
Tomates électro cultivées
Tomates témoin standards
Ne pas tenir compte de la plante
De même le 22 octobre, les semis se développent de manière significative dans la jardinière électro boostée, presque inexistante dans la jardinière électro cultivée et nulle dans la jardinière témoin.
Tomates électro boostées
Tomates électro cultivées
Tomates témoin standards
Ne pas tenir compte de la plante
Au 15 novembre, dans la jardinière électro boosté, les semis continuent leur développement idem dans la jardinière électro cultivée et nul dans la jardinière témoin
Tomates électro boostées
Tomates électro cultivées
Tomates témoin standards
Ne pas tenir compte de la plante
Le 8 décembre, la température est descendue à -1°C, ce qui a anéanti les tomates électro boostées et celles électro cultivées n’ont pas résisté à 5°C.
Tomates électroboostées
L’évolution des 3 jardinières entre le 29 septembre et le 8 décembre, période où l’ensoleillement diminue et où les écarts de température augmentent, montre que la jardinière témoin ne permet pas aux graines de pousser, La jardinière électro-cultivée permet une croissance modérée jusqu’à 5°. La jardinière électro boostée montre une croissance normale jusqu’à 0°. Cela permettrait de réaliser des semis d’automne, en baissant la température de la serre à quelques degrés la nuit et réaliser des économies de chauffage non négligeable.